un thermomètre sur un suppo ................. mais où vas t onGrendel a écrit :n'empêche, elle est bonne son idée à Freddy Tu veux que j'en parle ce WE aux CML Je demande l'avis des gaziers et j'te rend compte de la température, çà te vaYeti a écrit :mettre le chou en chèvre ou lycée de Versailles
Rencontre Forum MAI 2010, OCTOBRE 2010, MAI et OCTOBRE 2011
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
ca sera du comme caYeti a écrit :c'est ballot, J-D, tu seras absent pour la spécial enduro en octobre
vous noterez que j'ai po mis la béquille
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
na,
ici y a pas de gadou, les chemins sont balayés
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
Suite ….. compte-rendu KAFRA Mai 2010, jour 3 :
Après un jardinage de tous, reprise d’une bonne route large, traversée sur le barrage de Bort les Orgues, continuité en ville et sortie sur une route limitée en vitesse.
Au bout, bifurcation à droite et reprise de petites routes vireuses, par endroits çà tabasse pas mal.
Les indépendantistes ont dus faire un petit détour pour alimenter le SM, donc le groupe est en tête. Freddybicool ouvre la troupe, je ferme suivi de l’auto Greg et Miss J-D.
Par de beaux décors hors trafic automobile, routes étroites, çà monte, çà descend.
Regroupement à un changement de direction, pause pipi, clope, et pas de nouvelle des indépendantistes, ils ont du sortir du road book, c’est la seule raison plausible.
Je passe en tête jusqu’au stop pique-nique, les motos sont alignées sous les arbres, à l’auto échange casques contre casse-croûte, et nous allons vers l’endroit de la pause, un site panorama, et apprécié par les amateurs d’oiseaux, en particulier les rapaces nichans dans la vallée profonde. Nous apercevons seulement quelques vols, le temps est gris clair, pas de soleil, un peu frais.
Des motos arrivent, les indépendantistes ont fait un beau jardinage qui leur ont permis de rester derrière le groupe.
La pause se déroule dans la bonne ambiance, chacun assis, soit au sol, soit sur le muret bordant à l’aplomb du ravin.
Reprise de la balade par une chtite route viroleuse en aveugle surplombant la vallée, le profil est descendant jusqu’à la traversée d’un pont et légère remontée ensuite.
Cà tourne toujours autant, la vallée toujours à gauche, la route est meilleure par endroit.
Re traversée d’un pont, ancien tout en béton, et nous passons sur la rive gauche en direction de Mauriac par une belle montée.
Bifurcation à droite par une belle route pour redescendre en direction de la Dordogne, nous n’allons pas la quitter comme çà, depuis ce matin que nous la côtoyons.
Le dernier village traversé, çà descend fort, je sens que nous allons finir dans l’eau.
Et tout en bas, au détour d’un virage aveugle à gauche, une grande masse nous saute à la gueule, tout de béton. Nous sommes au barrage de l’Aigle, le suivant de Bort les Orgues.
La pause photos, blabla, le groupe est au complet, chacun va de son côté pour visiter la masse de l’ouvrage depuis la route posée sur le dessus.
Et c’est repartit, demi-tour, nous remontons la même route qu’à l’aller, pour rejoindre la grande ville du coin, Mauriac, par une grande route, belle, large, grandes courbes.
Arrivés en centre ville, le rencard avec les indépendantistes est prévu sur la place de l’église, à son pied sur le grand parking bordé de cafés.
Mais là musique et flonflons, c’est la fête au village, le parking accueille les autos tampons, barbe à papa et autres jeux.
Les uns stationnés dans une petite rue latérale, les autres devant les autos tampons.
Traversée à travers les jeux pour accéder au café, vu la température extérieure, tous à l’intérieur.
Les boissons chaudes de rigueur pour presque tous, bavardages divers et avariés, une histouare d’une cafetière et de son employée qui enfument comme des pompiers le volume de la salle de bar, pas petite. Que fait-on ? Appelons nous la police ? C’est du n’importe quoi, et elles ne se gênent pas, juste devant appuyées sur le comptoir, et il faut voir leurs tronches de mère à Titi, grosses, vulgaires, bref.
Moteurs en marche, direction une station ravitaillement, et zou la route du retour par la campagne belle dans cette contrée, de belles vaches Saler accompagnées de leur progéniture broutent dans les prés de part et d’autre de la route.
Une départementale standard qui tourne toujours jusqu’à la prochaine ville, Riom-es-Montagne, réputée pour la fabrication de la liqueur de Gentiane.
A la sortie, une belle route revêtue GP et tout en virages dont certains aveugles.
Pour un changement de direction à gauche pour une petite route qui nous mène à la portion spéciale enduro. Qui est facultatif. Lors de l’arrivée du groupe, au point de départ, personne.
Miss J-D téléphone aux indépendantistes, ils ont déjà fait la spéciale et nous attende à la sortie.
Du groupe seulement trois volontaires partent le couteau entre les dents, en ouvreur Freddybicool, suivi de Grand-Poi et de Jyves, apparemment les trails vont être sur leur terrain.
Le groupe se déplace de deux cent mètres pour le regroupement, en fait nous sommes dans un petit village tout en longueur, le départ est à l’entrée du village et la sortie au milieu. Mais la boucle enduro fait bien ses trois kilomètres par un chemin goudronné parsemé d’herbes centrales, mousses, feuilles mortes, gravillons, boue, et tout en relief, même qu’il y a des épingles à cheveux à pas piquer des vers, en dévers descendant, le bonheur pour les grosses saucisses.
Au départ, l’équipage PatYeti décide de partir devant afin de prépare, un peu, le dîner.
Suivi de Jéjé, mais d’un coup, après quelques centaines de mètres, je dit à Pat, les clés de la maison sont dans le sac à dos qui dans le coffre de l’auto balai, zut, stop, on attend l’auto.
Les indépendantistes suivent le road-book initial par de petites routes à travers la montagne, pendant que le groupe passe devant nous pour rejoindre la grande route directe.
Une fois les clés récupérées, nous repartons, le couteau entre les dents, suivi par Jéjé, Grand-poi, Jyves et Grumpy monté sur le Tom.
Grumpy, qui était jusqu’alors dans l’auto balai, because moto caca, bobo.
Cet échange de monture est du à un petit soucis de câble d’embrayage sur la Kawa de Doudou, dont le guidon est pris par Néné, sur ce Doudou en auto, et tout ce monde en route.
Nous roulons depuis pas mal de kilomètres, à un rythme, disons élevé, sans rien voir à l’horizon, pourtant nous sommes sur la même route, bref nous verrons bien.
Au bout d’un certain temps, nous apercevons le groupe, doublage en bonne situation, salut au passage et zou. Vers la fin, la route n’est qu’un long ruban rectiligne, alors je diminue le rythme, des fois que des jumelles n’observent pas les rapaces.
Arrêt moteurs, pose casques, ouverture maison, et vroum le groupe arrive, pas la peine de soutenir une allure, y a pas de différence à l’arrivée, pas le risque d’être pris en flagrant délit.
Voilà, la balade est finie, sans embûche, tout le monde a la banane, le temps a été de la partie, çà aurait pu être mieux, mais déjà il n’a pas plus.
En route pour l’apéro, il est sept heure moins ricard.
Freddybicool arrose sa Ducat, il a la banane, il a passé les mille kilomètres ce qui lui a valu de dandiner du cul sur la moto au moment de l’affichage 1000 sur le compteur, un gamin je vous dis.
Etant un peu short au niveau horaire pour le miam, un coup de main en couisine est le bienvenu, pendant que les garçons assèchent leur soif de cette journée.
Un dîner comme d’ab, bonne ambiance, miam, glouglou, glouglou, bavardages, etc ….
Cà part mettre la viande dans le torchon, les uns après les autres, certains très tard feront la chenille dans l’escalier pour accéder à la chambre au plafond tournant.
Lendemain mating, çà va bieng, pti déj, les filles à la plonge, le soleil commence à pointer ses rayons absents tout au long des derniers jours.
Grumpy part dans les premiers, les Ducat kékés sont chargées, les autres se préparent au voyage de retour.
Une heure et demie plus tard, un coup de téléphone de Grumpy, viendez me chercher chui en panne, po loing.
J-D la remorque, on y va, c’est juste à côté.
Quelques kilomètres plus loing, nous trouvons le gars au près de sa moto bleu rangée sur la bas côté dans le sens de la maison. Vite demi tour un peu plus loing, arrêt sur le bord, l’un prépare le rail, l’autre les courroies et c’est parti pour un chargement express, comme des voleurs, pas vus, pas pris, et J-D en a profité pour inaugurer son gilet fluo, çà lui va comme un gant, il devrait le garder sur la bien molle, ce que j’en dis.
Retour au paddock, appel à l’assistance pour un véhicule de remplacement.
Ben non, çà sera dépanneuse pour stockage au dépôt du dépanneur, un certain Eric.
J’entend ronfler le camion dans le village, je l’oriente pour le chargement, c’est pas triste st’affaire. D’abord, au moment où il descend le plateau, un papi veut sortir son 4x4 du parking, mais que neni, le plateau arrive au sol sous une des roues du dit véhicule, MDR.
Grumpy pousse sa bleue sur la rampe inclinée d’un bon dénivelé, aidé et je reste pour tenir jusqu’au bout, c’est que l’on n’est pas rendu. La rampe est montée, toujours avec le même angle ce qui nous amène au premier étage du gîte, et arrivée au sommet, çà bascule d’un coup pour rejoindre l’horizontale.
Il reste plus qu’à attendre le taxi pour le mener au train pour quelques bonnes heures de lecture.
J-D peut maintenant charger la remorque de sa moto, il part en wouakances.
Avec les derniers, nous casse croûtons ensemble à table, et c’est le départ vers l’ouest pour certains.
Maintenant la maison est vide, sans vie, çà fait drôle.
Un très bon week-end passé en très bonne compagnie, comme d’ab, bonne humeur, déconne, mauvaise foie, une tonne de souvenirs.
A très bientôt, pour la prochaine édition, en octobre de cette année,
Une édition spéciale.
Après un jardinage de tous, reprise d’une bonne route large, traversée sur le barrage de Bort les Orgues, continuité en ville et sortie sur une route limitée en vitesse.
Au bout, bifurcation à droite et reprise de petites routes vireuses, par endroits çà tabasse pas mal.
Les indépendantistes ont dus faire un petit détour pour alimenter le SM, donc le groupe est en tête. Freddybicool ouvre la troupe, je ferme suivi de l’auto Greg et Miss J-D.
Par de beaux décors hors trafic automobile, routes étroites, çà monte, çà descend.
Regroupement à un changement de direction, pause pipi, clope, et pas de nouvelle des indépendantistes, ils ont du sortir du road book, c’est la seule raison plausible.
Je passe en tête jusqu’au stop pique-nique, les motos sont alignées sous les arbres, à l’auto échange casques contre casse-croûte, et nous allons vers l’endroit de la pause, un site panorama, et apprécié par les amateurs d’oiseaux, en particulier les rapaces nichans dans la vallée profonde. Nous apercevons seulement quelques vols, le temps est gris clair, pas de soleil, un peu frais.
Des motos arrivent, les indépendantistes ont fait un beau jardinage qui leur ont permis de rester derrière le groupe.
La pause se déroule dans la bonne ambiance, chacun assis, soit au sol, soit sur le muret bordant à l’aplomb du ravin.
Reprise de la balade par une chtite route viroleuse en aveugle surplombant la vallée, le profil est descendant jusqu’à la traversée d’un pont et légère remontée ensuite.
Cà tourne toujours autant, la vallée toujours à gauche, la route est meilleure par endroit.
Re traversée d’un pont, ancien tout en béton, et nous passons sur la rive gauche en direction de Mauriac par une belle montée.
Bifurcation à droite par une belle route pour redescendre en direction de la Dordogne, nous n’allons pas la quitter comme çà, depuis ce matin que nous la côtoyons.
Le dernier village traversé, çà descend fort, je sens que nous allons finir dans l’eau.
Et tout en bas, au détour d’un virage aveugle à gauche, une grande masse nous saute à la gueule, tout de béton. Nous sommes au barrage de l’Aigle, le suivant de Bort les Orgues.
La pause photos, blabla, le groupe est au complet, chacun va de son côté pour visiter la masse de l’ouvrage depuis la route posée sur le dessus.
Et c’est repartit, demi-tour, nous remontons la même route qu’à l’aller, pour rejoindre la grande ville du coin, Mauriac, par une grande route, belle, large, grandes courbes.
Arrivés en centre ville, le rencard avec les indépendantistes est prévu sur la place de l’église, à son pied sur le grand parking bordé de cafés.
Mais là musique et flonflons, c’est la fête au village, le parking accueille les autos tampons, barbe à papa et autres jeux.
Les uns stationnés dans une petite rue latérale, les autres devant les autos tampons.
Traversée à travers les jeux pour accéder au café, vu la température extérieure, tous à l’intérieur.
Les boissons chaudes de rigueur pour presque tous, bavardages divers et avariés, une histouare d’une cafetière et de son employée qui enfument comme des pompiers le volume de la salle de bar, pas petite. Que fait-on ? Appelons nous la police ? C’est du n’importe quoi, et elles ne se gênent pas, juste devant appuyées sur le comptoir, et il faut voir leurs tronches de mère à Titi, grosses, vulgaires, bref.
Moteurs en marche, direction une station ravitaillement, et zou la route du retour par la campagne belle dans cette contrée, de belles vaches Saler accompagnées de leur progéniture broutent dans les prés de part et d’autre de la route.
Une départementale standard qui tourne toujours jusqu’à la prochaine ville, Riom-es-Montagne, réputée pour la fabrication de la liqueur de Gentiane.
A la sortie, une belle route revêtue GP et tout en virages dont certains aveugles.
Pour un changement de direction à gauche pour une petite route qui nous mène à la portion spéciale enduro. Qui est facultatif. Lors de l’arrivée du groupe, au point de départ, personne.
Miss J-D téléphone aux indépendantistes, ils ont déjà fait la spéciale et nous attende à la sortie.
Du groupe seulement trois volontaires partent le couteau entre les dents, en ouvreur Freddybicool, suivi de Grand-Poi et de Jyves, apparemment les trails vont être sur leur terrain.
Le groupe se déplace de deux cent mètres pour le regroupement, en fait nous sommes dans un petit village tout en longueur, le départ est à l’entrée du village et la sortie au milieu. Mais la boucle enduro fait bien ses trois kilomètres par un chemin goudronné parsemé d’herbes centrales, mousses, feuilles mortes, gravillons, boue, et tout en relief, même qu’il y a des épingles à cheveux à pas piquer des vers, en dévers descendant, le bonheur pour les grosses saucisses.
Au départ, l’équipage PatYeti décide de partir devant afin de prépare, un peu, le dîner.
Suivi de Jéjé, mais d’un coup, après quelques centaines de mètres, je dit à Pat, les clés de la maison sont dans le sac à dos qui dans le coffre de l’auto balai, zut, stop, on attend l’auto.
Les indépendantistes suivent le road-book initial par de petites routes à travers la montagne, pendant que le groupe passe devant nous pour rejoindre la grande route directe.
Une fois les clés récupérées, nous repartons, le couteau entre les dents, suivi par Jéjé, Grand-poi, Jyves et Grumpy monté sur le Tom.
Grumpy, qui était jusqu’alors dans l’auto balai, because moto caca, bobo.
Cet échange de monture est du à un petit soucis de câble d’embrayage sur la Kawa de Doudou, dont le guidon est pris par Néné, sur ce Doudou en auto, et tout ce monde en route.
Nous roulons depuis pas mal de kilomètres, à un rythme, disons élevé, sans rien voir à l’horizon, pourtant nous sommes sur la même route, bref nous verrons bien.
Au bout d’un certain temps, nous apercevons le groupe, doublage en bonne situation, salut au passage et zou. Vers la fin, la route n’est qu’un long ruban rectiligne, alors je diminue le rythme, des fois que des jumelles n’observent pas les rapaces.
Arrêt moteurs, pose casques, ouverture maison, et vroum le groupe arrive, pas la peine de soutenir une allure, y a pas de différence à l’arrivée, pas le risque d’être pris en flagrant délit.
Voilà, la balade est finie, sans embûche, tout le monde a la banane, le temps a été de la partie, çà aurait pu être mieux, mais déjà il n’a pas plus.
En route pour l’apéro, il est sept heure moins ricard.
Freddybicool arrose sa Ducat, il a la banane, il a passé les mille kilomètres ce qui lui a valu de dandiner du cul sur la moto au moment de l’affichage 1000 sur le compteur, un gamin je vous dis.
Etant un peu short au niveau horaire pour le miam, un coup de main en couisine est le bienvenu, pendant que les garçons assèchent leur soif de cette journée.
Un dîner comme d’ab, bonne ambiance, miam, glouglou, glouglou, bavardages, etc ….
Cà part mettre la viande dans le torchon, les uns après les autres, certains très tard feront la chenille dans l’escalier pour accéder à la chambre au plafond tournant.
Lendemain mating, çà va bieng, pti déj, les filles à la plonge, le soleil commence à pointer ses rayons absents tout au long des derniers jours.
Grumpy part dans les premiers, les Ducat kékés sont chargées, les autres se préparent au voyage de retour.
Une heure et demie plus tard, un coup de téléphone de Grumpy, viendez me chercher chui en panne, po loing.
J-D la remorque, on y va, c’est juste à côté.
Quelques kilomètres plus loing, nous trouvons le gars au près de sa moto bleu rangée sur la bas côté dans le sens de la maison. Vite demi tour un peu plus loing, arrêt sur le bord, l’un prépare le rail, l’autre les courroies et c’est parti pour un chargement express, comme des voleurs, pas vus, pas pris, et J-D en a profité pour inaugurer son gilet fluo, çà lui va comme un gant, il devrait le garder sur la bien molle, ce que j’en dis.
Retour au paddock, appel à l’assistance pour un véhicule de remplacement.
Ben non, çà sera dépanneuse pour stockage au dépôt du dépanneur, un certain Eric.
J’entend ronfler le camion dans le village, je l’oriente pour le chargement, c’est pas triste st’affaire. D’abord, au moment où il descend le plateau, un papi veut sortir son 4x4 du parking, mais que neni, le plateau arrive au sol sous une des roues du dit véhicule, MDR.
Grumpy pousse sa bleue sur la rampe inclinée d’un bon dénivelé, aidé et je reste pour tenir jusqu’au bout, c’est que l’on n’est pas rendu. La rampe est montée, toujours avec le même angle ce qui nous amène au premier étage du gîte, et arrivée au sommet, çà bascule d’un coup pour rejoindre l’horizontale.
Il reste plus qu’à attendre le taxi pour le mener au train pour quelques bonnes heures de lecture.
J-D peut maintenant charger la remorque de sa moto, il part en wouakances.
Avec les derniers, nous casse croûtons ensemble à table, et c’est le départ vers l’ouest pour certains.
Maintenant la maison est vide, sans vie, çà fait drôle.
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
coum' d'hab' je serais la en octobre
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
Octobre, Octobre...suivant le temps, je serai là mais en quad s'il neige.
Parfois le but, c'est le chemin lui même.
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
Bien raconté le Yéti
je serai de la partie en octobre, sûr
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
Mouais... Bof... Peut mieux faire...
On verra pour octobre si c'est jouable.
Merci Yéti !!!!
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
sur la turduku bikeYeti a écrit :et avec, Turduku
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
j'en suis aussi, si la ford tourne
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
le temps de faire ma 650 et j'arrives!!
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Re: Rencontre Forum MAI 2010
Déjà que tu bourres à donf' avé la 500.... J'sens que çà sera sportif c'affaireGrumpy a écrit :le temps de faire ma 650 et j'arrives!!
Je suis con, mais quand je vois ce que les gens intelligents ont fait du monde.
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