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les Toffs des Héros ... là ou les routes sont sans limites

Posté : 04 janv. 2008, 11:53
par jnck
Un p'tit mémorial de nos héros préférés ... Rockeur - pilote and x'téra ki sont plus de ce monde là ou les routes sont sans limites .

;)

Posté : 04 janv. 2008, 11:57
par jnck
j'kommence par l' histouware d'un mec

"J'apelle les fainéants, les crasseux, les drogués, les alcooliques, les pédés, les femmes , les parasites, les jeunes, les vieux, les artistes, les taulards, les gouines, les apprentis, les Noirs, les piétons, les Arabes, les Français, les chevelus, les fous, les travestis...."

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sa vie sur son site woueb http://www.coluche.fr/

8-)

Posté : 04 janv. 2008, 12:38
par néné
pas facile de passé après le gars coluche :lol:
alors mon idole ( rencontré plusieurs fois aux CML ): =D>
John Surtees est un ancien pilote motocycliste et automobile britannique né le 11 février 1934 à Tatsfield (Surrey, Angleterre). Il a notamment participé à 111 GP de Formule 1, inscrit 180 points, remporté 6 victoires et décroché le titre mondial en 1964. John Surtees reste à ce jour
le seul pilote champion du monde moto et formule 1
moto ( 350 = 58,59 et 1960. en 500 56 , 58,59 et 1960 )
Formule 1. 1964 avec une ferrari 158
qui dit mieux :?:

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Posté : 04 janv. 2008, 13:05
par TWINRACER
Je pense qu'il a largement sa place ici .

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· 9 fois champion du Monde moto entre 1961 et 1967
· Champion d'Europe de Formule 2
· 50 participations en Grand Prix de Formule 1 à partir de 1963

Posté : 04 janv. 2008, 13:48
par géraldine
jnck a écrit :j'kommence par l' histouware d'un mec

"J'apelle les fainéants, les crasseux, les drogués, les alcooliques, les pédés, les femmes , les parasites, les jeunes, les vieux, les artistes, les taulards, les gouines, les apprentis, les Noirs, les piétons, les Arabes, les Français, les chevelus, les fous, les travestis...."

Et dire qu'il y en a qui cumullent :)

un vieil artiste arabe alcoolique ,fainénant ,accro a la coke fraichement sorti de fleury ou il a connu sa première expérience homo qui porte des cheveux longs et qui s'est pas lavé depuis lontemps...Hey ben j'en connais un!




Posté : 04 janv. 2008, 14:07
par néné
twinracer a écrit :Je pense qu'il a largement sa place ici .

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· 9 fois champion du Monde moto entre 1961 et 1967
· Champion d'Europe de Formule 2
· 50 participations en Grand Prix de Formule 1 à partir de 1963
seulement en formule 2 :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Posté : 04 janv. 2008, 14:25
par géraldine
forcément :

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indian larry

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Barry Sheene

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et surtout ma copine Val :cry:

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Posté : 04 janv. 2008, 14:33
par jnck
C malin v'la k'avec mon post à la kon j'fais pleurer la Gé :-?
il sert aussi à faire ressortir les bons moment hein ;)

Posté : 04 janv. 2008, 16:09
par MAD MAX
Je suis un grand fan de Barry Sheene 8-)
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Posté : 05 janv. 2008, 08:51
par Yeti
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http://fr.youtube.com/watch?v=W9hBaTuvV ... re=related

Victoire australienne sous la pluie au Mans
Le pilote au casque frappé d'un kangourou aura passé toute sa carrière dans cet enfer d'huile et de cuir.
Jack restera cet éternel «pilote privé», sans réels moyens, se battant sur tous les fronts et surtout contre
l'Italien Giacomo Agostini, une des premières stars du circuit, pratiquement imbattable à l'époque.
Son aventure extraordinaire a été immortalisée par Jérôme Laperrousaz dans Continental Circus,
un film consacré à Jack, tourné en 1969 et présenté au Festival de Cannes en 1971 avec une BO de Gong
(incluant notamment un Blues For Findlay ).
Mythiques. La passion de Jack Findlay pour la moto est née dans son village de Mooroopna
(«eaux profondes» en aborigène), à travers les magazines anglais qu'il dévorait avec des mois de retard.
Jack se nomme alors Cyril, travaille à la Banque d'Australie et a l'intention de faire du foot australien :
«La banque était ouverte le samedi et je ne pouvais pas jouer, j'ai donc choisi la moto.»
Il emprunte le permis de son frère John pour prendre une licence de pilote.
Il juge aussi le prénom Cyril trop efféminé. Désormais il s'appellera Jack.
En 1958, las de faire des kilomètres à travers ce continent immense, ce fils de boulanger écossais
quitte l'Australie pour l'Angleterre, avec son épouse. La Norton achetée à crédit est en cale.
Un mois de voyage, 35 livres en poche, il se rend directement à Birmingham, siège de l'usine Norton,
mais trouve du boulot chez BSA. Plus tard essayeur chez Dunlop, il pourra enfin se payer une moto neuve
et se lancer dans les Grands Prix de l'époque. «La moto ne m'intéresse pas en dessous des 200 km/h»,
disait-il avec son sourire en coin ( Libération du 12 mai 2000).
Pour survivre, Jack chasse les primes de départ aux quatre coins de l'Europe.
Les circuits s'appellent île de Man, Nürburgring, etc. Des lieux mythiques et très dangereux.
Un jour, en rentrant chez lui, il découvre que sa première femme et son fils Gregory Ralph,
du nom de deux amis pilotes qui s'étaient tués sur l'île de Man, sont repartis en Australie...
(il épousera par la suite Dominique, la veuve du pilote Georges Monneret).
Le fiston retrouvera son père en 1995: «Un grand gaillard a frappé à ma porte, mon coeur s'est arrêté.
Comme je ne savais pas quoi dire j'ai lancé : "Tu ne vas quand même pas m'appeler papa !"»
Bataille. Pour les pilotes plus anciens, Jack fait figure de pionnier indéboulonnable.
L'ancien champion du monde l'Américain Randy Mamola le compare à «un guerrier».
Il ne désarmait jamais devant ses nombreuses blessures et, à chaque fois, il repartait au front.
Sa bataille sur les circuits aura duré près de vingt ans, jusqu'en 1978 (date de sa retraite sportive à 43 ans).
Une longue carrière qui lui offre sa plus belle victoire en 1973 lorsqu'il bat Barry Sheene au Tourist Trophy de l'île de Man.
Il attendait ça depuis quinze ans. «Personne n'était jamais venu me voir, rappelait-il.
Là, en une journée, j'avais eu deux propositions de team usines.»
Il arrêtera sa longue carrière au Castellet, épuisé par ses blessures.
«Ce jour-là, le directeur de course m'a dit : "Ecoute Jack, je te donne la prime de départ, mais ne prends pas le départ !"»
Et Findlay n'est plus jamais reparti.
Essayeur chez Michelin (il a été le premier pilote à passer les 300 km/h), il restera dans le circuit jusqu'en 2002,
en tant que directeur technique. Bien qu'avare de mots, il laisse au monde de la moto des images inoubliables.

Posté : 05 janv. 2008, 11:43
par alfred
No comment =D>

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Posté : 05 janv. 2008, 12:47
par olivier59
Une petite anecdote de Monsieur Dunlop qu'il raconte dans un documentaire. Il explique qu'il faisait le tracé du TT de nuit en voiture avec ses pôtes sans phares, partant du fait que si il pouvait le faire ainsi a fond de nuit, il n'y avait aucune raison de le faire a fond de jour :mrgreen:

En tous cas dans ce post il n'y a que des grands 8-)

Posté : 05 janv. 2008, 14:45
par Easy Rider
Je ne connaissais pas Dunlop, mais j'allais ajouter findlay ;)

Posté : 05 janv. 2008, 15:04
par olivier59
Easy Rider a écrit :Je ne connaissais pas Dunlop, mais j'allais ajouter findlay ;)
Une petite partie du palmares de Joey Dunlop au TT

1983 : TT F1
1985 : TT F1, 250, Senior
1986 : TT F1
1987 : TT F1 et Senior
1988 : TT F1 , 250 et Senior
1992 : 125
1993 : 125
1994 : 125 et 250
1995 : 250 et Senior
1996 : 125
1997 : 250
1998 : 250
2000 : TT F1, 125, 250

Posté : 05 janv. 2008, 21:32
par TWINRACER
Moins de titres, mais français !

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