mais ! tu ne connait po les conditions d'admission,
d'une part être parrainé,
d'autre part être friké,
d'origine certifiée,
et ..................... va savoir ............ plus si affinité
mais ! tu ne connait po les conditions d'admission,
d'une part être parrainé,
d'autre part être friké,
d'origine certifiée,
et ..................... va savoir ............ plus si affinité
Mmmmmmmmmmmhhhhhhhhh une pincée de graisse a traire et une poignée de grenaille , và b'en couiner l'antuninge
cé po mon truk, la prose,
mais bon, le minimum syndical c'est la moindre des choses après un tel évènement,
demain, çà devrait le fer, au moins pour la deuxième journée riche en évènements tous aussi incertains que les autres
Yeti a écrit :de gros dossiers vont pas tarder à sortir,
j'mi kol cette nuit, aux vapeurs de marc, çà va le fer, çà va chier ........ GRAVE
yeti tu devrai pô toucher au vitriol
ah ! bon ..................... j'ai du confondre avec l'eau de source, enkor un flacon mal rangé,
Pat !!!!!!!!!!!!!!!! où est la Volvic,
le torboyau va faire de l'effet, laisse la porte des chiottes ouverte cette nuit,
que je n'aille pas dans l'frigo
mais ! tu ne connait po les conditions d'admission,
d'une part être parrainé,
d'autre part être friké,
d'origine certifiée,
et ..................... va savoir ............ plus si affinité
Après une bonne nuit, un pti dèj, c’est partit pour la première balade, direction le sud en Haute Loire, en passant par les routes à vache.
Premier arrêt ravitaillement à cinq kilo de mètres en roulant peinard tout en chauffant le type et son destrier, malgré le tracé tout en virages sur un revêtement GP, tentant mais bon, pneus froids, etc ….
Arrivé au rond-point en vue de la station service, jusque là derrière çà suit, cligno et arrêt à la station, mais !!!!!!!!
Y a plus person, gaston le téléphone ki sonne !!!!!!!!!
Quand même, deux cent mètres entre le rond-point et la station, vont arriver.
Juste un qui vient nous informer que la GT est en rade.
Mais ! où donc ?
Là, au rond-point, en effet nous les voyons tous agglutinés autour de la mob, mais laissez la respirer.
D’autres nous rejoignent, apparemment il y a eu un grand boum genre explosion à bord de l’engin roulant, déjà ce n’est pas un attentat, mais de koi donc la GT souffre-t-elle ?
Puis, elle arrive dans un barouf, genre avion de chasse au ralentit, et vient s’arrêter à nos bottes. En effet y a de koi fer du barouf st’meule, le pot gauche pendouille lamentablement, déboîté au niveau de la culasse, fait fort le Ben.
Pas de souchis, nous sommes à la station qui également mécano auto, l’atelier est fermé, mais la dame de la station nous prête ce ke nous avons besoin, soit un chiffon, c’est chaud ce tube, pas le dernier de Sheila, et une pince afin de reviser la collerette en place.
Il faut dire, que la moto vient d’être terminée la veille, alors les essais se font ce wikend en conditions réelles de roulage.
Ne quitte pas la lecture, çà va être chargé.
Autrement, tout va bien, les pleins faits et GGAAAZZZZZZZZZZZZZ ……………….
L’ami Lolo est de moto balai et personne de se perd, sinon coup de botte.
Aux arrêts, genre stop aux intersections, le païlote de la GT cherche le point mort à coup de savate, de ville, y a un réglage à faire de ce côté-là.
Lors d’un arrêt, ce n’est pas stop and go, mais sortie de la pince ki va bien ou mal, pour un réglage de la tension du câble du frein moteur, na y en a po sur le deux temps. En trois mouvements le go essaye d’avoir un débrayage, mais bon c’est po gagné, sinon plus de garde, GARDE à moi …………
Nous sommes stationnés en plein sur la chaussée, légèrement en cote, à un stop en village, et des véhicules à quatre roues nous contournent moyennant de grands salut et sourires, Ah ! ces motards, toujours en panne et aucune éducation. De ma faute c’est, Pat me dit ne restons pas là, çà va pa le fer, mais si je lui rétorque, vu le look des cocos y aura pas d’affrontement.
Tout en ordre et çà repart, toujours les routes à vache, en traversant de ptis filacheux, Achtung chiens, chats, mémés et autres chicanes mobiles.
J’ai le CG au cu, même par moment je bouchonne, la route est plutôt adaptée pour un 124 que pour émile, bon çà va être ainsi sur toutes les chtites routes viroleuses.
Nous apercevons sur la crête de grandes bestioles agitées, qui clignotent, mais n’ont po l’air de vouloir changer de direction mais de tourner, po kler st’histoire, hein !!! chti biloute keskecé, des éoliennes pardi.
Et nous attaquons une descente, tout en firageux, certains aveugles par un route ki tabasse sérieux, d’ailleurs en grande partie le week-end sera agrémenté de ce type de revêtement.
Après un dénivelé de cinq cent mètres sur environ une dizaine de kilomètres, nous stoppons à l’entrée d’un pont enjambant la rivière Alagnon, nous sommes en Haute-Loire au sud d’Orcival.
Nous décaskons, clopes, pipi, pour les garçons, et là nous prend l’idée saugrenue de photographier le go Yeti en train de se soulager à faible vitesse, limitation oblige.
Pendant que Lolo nous quitte pour voir plus loin sur la route, qui va être très roulante par de grands virages et courbes, si les bleus ne sont en faction en bordure de ce beau tracé, trop rapide d’ailleur. Et va se poster afin de mettre en boîte des images ki bougent des kaffreux.
Pendant notre escale, des gamins nous font le spectacle à vélo, l’un assis sur la selle, jusque là normal, et le deuxième sur un vélo standard et non un tandem, en train faire la force motrice pour le déplacement de cet équipage, en clair un ki pédale et l’autre ki se fend la goule.
Pendant ke el’Néné nous fait une danse improbable, çà doit être les vapeurs de la soirée qui s’éteignit vers deux heures du mat.
Sacré momes ils s’éclatent comme nous avons tous fait ces mêmes délires.
Gaz, nous partons le couteau entre les dents sur cette belle route, arrivés à hauteur du caméraman les uns vont d’un salut, les autres d’un gros coup de poignée.
Je suis obligé de rejoindre la tête de la troupe, ils savent po où l’on tourne et chui moto balai.
Fo fer causer les watts sur st’route, j’arrive a en doubler kelke uns, et arrivé en vue de la tête du peloton, y a à faire. Le Terrot en tête et avionne à d’onf, dans sa roue la bihème suivi de la cibi, çà tourne de trop par les virages aveugles, po moyen de la gratter.
En attente du moment propice, un moment ou au autre çà va bien ralentir pour trouver le bon changement de direction, et hop c’est fait, à droite toute, sans attendre Lolo, il connaît bien le quartier, avec son pilote automatique.
Direction la terrasse d’un troket pour une mousse bien méritée avec la trace des doigts sur la buée du verre, glouglou kel bonheur st’jus de houblon, les fifilles vont au pipirom.
Et pique-nique au bord de l’eau, en plein bonheur, le soleil, la mer, les nanas.
Et reterrasse, coffee oblige, au bord de la terrasse une moto française attend ses proprios, toute orange métal, apparemment neuve ou bien peu roulé, c’est le modèle avé les pots du même côté.
Un couple s’approche vers le destrier, en civil, elle en chaussure à talons, à peine un salut et zon partis, les bobos, bof.
Pendant que nous échangeons enkor kelkes konneries il sera temps de se remettre en selle.
La suite dans un pti moment, j’va au pti déj, là ici en ce mercredi matin…….
A nouveau sur les routes à vache …………………
Gentille petite montée viroleuse à souhait pour sortir de la vallée de l’Alagnon, kelkes virages aveugles, à tribord la falaise, de l’autre bord le ravin séparé par un chti muret symbolique, sortie de route fortement déconseillée.
Nous sommes sur une zone d’altitude, que des pâturages à perte de vue, la route, des clôtures de part et d’autre, au fond des plaques d’isolation polystyrène, et les porteurs d’eau bien utile pour soulager le dos des sds.
Une pause photo en plein cirque, le photographe à bâbord et le sujet à tribord, et el’Néne kifé le cirk partout.
De mon côté je vise un truc à Jules, c’est exactement le logo du relais à Pat,
Demain je vais prévoir le découvit au cas ou, dans un moment d’assoupissement je vais tenter de lui subtiliser st’truk, mais cé po gagné.
Nous traversons des ptis villages isolés, en pleine montagne, au bout du monde, d’ailleurs à cette altitude, entre 1100 et 1300 mètres, les hivers sont très rigoureux, rien qu’à voir les matériaux des maisons, les toits en tôle visée, les fenêtres en double, les portes en tôle, y a po de chti maison en parpaing et fermette.
Bien entendu, çà continue de tourner de chez tourner, çà descend et çà monte, et çà tourne, mais ce n’est qu’un début, de l’autre côté çà sera vraiment de la route viroleuse.
Arrête, na po pour la GT, elle fonctionne du feu de dieu, mais une séance phot on the road.
Le groupe est arrêté, et l’on attend un chti moment que Lolo, notre grand reporter envoyé spécial, se mette en faction dans le bon angle, et gaz pour le premier.
Ptipoi est parti, suivi par Greg, Jules, Ben le déhancheur fou, Dédénounou, Granpoi & Miss, et pour fermer la scène, el’Yeti.
Regroupement sur place, comme d’ab en plein virage, po de souchis y a person sur cette planète.
La suite, pour rejoindre la ville de Besse en Chandesse, là cela tourne à vomir, et chti arsouille, hein Ptipoi, la montée dans s’bois, trop bon et aucun véhicule croisé.
Ravitaillement et retour par de la belle route ki vavit, en fin de balade du roulant est le bien venu, surtout pour ceux en bracelets et grosse cylindrée.
Entre temps, Jo me passe un appel téléphonique pour m’annoncer leur arrivée au gîte et que d’autres motards nous attendent pour nous faire un coucou.
Trois quarts d’heure plus tard nous stoppons les moteurs, çà cé fé ………….
Connaissance de Jo ans Miss, ah ! une ducat de plus, et un …… cibi …………….
Bavardages, mousses, et miam.
Soirée animée de toutes parts, à chacun son anecdote, ambiance de feu, la boutanche à Ben ne s’en remet po. D’ailleurs nous avons de la lecture, Jules avait posté " ki veut que je fasse des achats chez Louis, j’habite po loin " , comme personne n’as donné signe de vie, il nous as gentiment apporté le catalogue de LOUIS, dit Ptiloui.
Se charger inutilement c’est vraiment un bel esprit de camaraderie, peut être aurait-il put se charger en lieu et place du catalogue, au format La Redoute XXXL, d’une chtite bouteille d’agrikol, genre du pays, mirabelle par exemple.
Mais ceci est une autre histouare, pas d’embrouille entre nous, hein Jules.
Une belle journée de passée,
A la deuxième balade, po triste du tout …………..