BOC 2010 : une édition ratée
Posté : 11 avr. 2010, 21:55
Jamais fait autant chier.
Mes reproches vont pour commencer à Doudou et Nono: rien n'était préparé, aucune logistique, rien à boire, rien à bouffre, petit chapiteau rikiki où l 'on tenait juste à deux bien tassés, les LOC avaient amené deux trois meules ordinaires, bref, pitoyable. A la fin, ces voleurs font passer le cochon pour s'en foutre plein les fouilles.
Parlons des 2 twins GG. Ceux, là, c'était le pompon, avec leurs animations de colonies de vacances façon comique troupier. Ces cons, y z'avaient planté ma tente avant que j'arrive, et z'avaient oublié un piquet...sans compter le matelas trop gonflé, et la loupiote trop haut perchée pour l'allumer couché...bref du boulot ni fait ni à faire. En plus, au moment de démonter, voila pas qu'il vient se mêler de m'aider, pour bien me faire sentir que je sais pas faire tout seul. T'u parles d'un esprit tordu. Et z'avez vu comment il élève son fils. Et après on s'étonnera si à 50 ans le petit se retrouve a fréquenter un bande de sales motards qui se torchent la gueule. Et Je cause pas de leur remise de coupes. Favoritisme, magouille et compagnie...le pompon, la coupe remise au Griotts Club. Un groupuscule sorti de nulle part, avec seulement deux membres, avec un des deux qui était même pas présent pour le remise des coupes, et j'ai bien reconnu qu' un des organisateurs s'était déguisé pour faire croire qu'il était la. Mais à moi, on la fait pas...
Tant qu'on cause de ces Griott's. Le fameux Greg, qui nous fait un ordinaire jambon purée, qui enlève même pas la peau des patates, et qui nous les passe façon crépi à la tyrolienne. Y fait le malin avec ses autocollant à chier que j'ai été forcé d'accepter pour lui faire plaisir. Pour l'anni de ses potes, y trouve rien de mieux que de refourguer un autre épave. comme si il n'y en avait pas assez sur le stand. Après y fait le malin en démarrant ses pissoires en les prenant sous le coude et en tournant la roue à la main. J'aimerais le voir faire ca avec un goldwing, le p'tit malin. Jeune branleur.
Et son acolyte hirsute Eliott, qui fout le bordel et m' a réveillé la nuit sous prétexte qu'il ne sait pas socialiser avec un pauvre monsieur qui demandait l'hospitalité, et en plus il nous a empesté avec son burn.
Arrive le breton Nono. Ses galettes insipides, jamais un sourire, qui m'attend sur la route en me faisant bien sentir combien je le fais chier...
Et le Ramone. ce malade qui fait 300 bornes de plus pour venir m'accompagner depuis la Touraine, alors que j'aime bien rouler seul. Y me transporte mon litron d'essence uniquement pour me le piquer si je tombe en panne. Failli se planter sur des gravillons. Sait même pas freiner, et y coupe le jambon comme un salaud.
Le Lolo. venu taper l'incruste le WE précédent pour soi disant me régler les cabus. Travail de merde J'ai failli ne pas pouvoir venir. (n'empêche qu'au retour, impeccable à tous les régimes, moins de conso, aucun arrêt technique). En plus y me laisse transporter ses propres outils, sous prétexte que je pourrais en avoir besoin. Rien trouvé de mieux que d'amener son neveu Romain qui nous a fait perdre notre temps à braver la maréchaussée. D'accord pour emmener de la famille, mais pas n'importe qui tout de même. En plus, c'est facile d'amener mes bagages en caisse...mais pour remonter sur Paris, plus personne. J'oubliais sa nouvelle copine. Une espèce de molasse qui reste tout le temps bouche béante e n'a pas prononcé un mot de tout le WE. Non contente de se faire arrêter par les condés, elle est restée sur le pas de la tente tout le WE, et a joué un peu avec les enfants et essayé un peu toutes les motos. Ah, il est bien tombé, le Lolo...
Parlons du Zode. Y m'a fait une pendule pour pour essayer de ne pas m'accompagner sur la route du retour, et tout ca pour finir dans une décharge publique pour récupérer des rondelles et des cannettes de boisson pour re-fixer son pot de Buell...l'hôpital qui se fout.... ET moi, pas une panne. Dès que Lolo n'est plus là, tout remarche !
Les Ptit pois et consorts. Y font 3 km et te gagnent une coupe....magouille je disais...
Le Grendel et sa ridicule moto rouge, qui fout le boxon la nuit. Cet enfoiré est resté derrière moi tout le chemin du retour, comme si je risquais de tomber en panne. ..Pour m'humilier...Aucun tact...Et pour la fin, il me laisse son araignée par flemme de latransporter...Un araignée, ça porte malheur.
Le seul que j'ai trouvé gentil, c'est Antitunning . Aimable, poli, discret, le gendre idéal. Il m' a laissé une photo de lui sur mon oreiller, avec un rencart dans un coin un peu écarté. Malheureusement, je n'ai pu m'y rendre (problème d'hémorroïdes). Il m' juste vidé le réservoir de la CX, mais j'étais si heureux de le voir ravi (pis y restait environ 8 cm3 de fuel....). Ensuite, il m'a enduit ma moto d'une couche caoutchoutée qui protègera efficacement de la corrosion. Non, vraiment, ce garçon est un amour.
Mais ce qui me gave le plus, c'est cet esprit étriqué des Café Racers, qui te foutent une bécane à la poubelle sous prétexte qu'elle ne correspond pas au standing du club.
Non, vraiment, je me suis senti mal dans cette bande de tristes et de vicelards. On ne m'y reprendra plus.
Mes reproches vont pour commencer à Doudou et Nono: rien n'était préparé, aucune logistique, rien à boire, rien à bouffre, petit chapiteau rikiki où l 'on tenait juste à deux bien tassés, les LOC avaient amené deux trois meules ordinaires, bref, pitoyable. A la fin, ces voleurs font passer le cochon pour s'en foutre plein les fouilles.
Parlons des 2 twins GG. Ceux, là, c'était le pompon, avec leurs animations de colonies de vacances façon comique troupier. Ces cons, y z'avaient planté ma tente avant que j'arrive, et z'avaient oublié un piquet...sans compter le matelas trop gonflé, et la loupiote trop haut perchée pour l'allumer couché...bref du boulot ni fait ni à faire. En plus, au moment de démonter, voila pas qu'il vient se mêler de m'aider, pour bien me faire sentir que je sais pas faire tout seul. T'u parles d'un esprit tordu. Et z'avez vu comment il élève son fils. Et après on s'étonnera si à 50 ans le petit se retrouve a fréquenter un bande de sales motards qui se torchent la gueule. Et Je cause pas de leur remise de coupes. Favoritisme, magouille et compagnie...le pompon, la coupe remise au Griotts Club. Un groupuscule sorti de nulle part, avec seulement deux membres, avec un des deux qui était même pas présent pour le remise des coupes, et j'ai bien reconnu qu' un des organisateurs s'était déguisé pour faire croire qu'il était la. Mais à moi, on la fait pas...
Tant qu'on cause de ces Griott's. Le fameux Greg, qui nous fait un ordinaire jambon purée, qui enlève même pas la peau des patates, et qui nous les passe façon crépi à la tyrolienne. Y fait le malin avec ses autocollant à chier que j'ai été forcé d'accepter pour lui faire plaisir. Pour l'anni de ses potes, y trouve rien de mieux que de refourguer un autre épave. comme si il n'y en avait pas assez sur le stand. Après y fait le malin en démarrant ses pissoires en les prenant sous le coude et en tournant la roue à la main. J'aimerais le voir faire ca avec un goldwing, le p'tit malin. Jeune branleur.
Et son acolyte hirsute Eliott, qui fout le bordel et m' a réveillé la nuit sous prétexte qu'il ne sait pas socialiser avec un pauvre monsieur qui demandait l'hospitalité, et en plus il nous a empesté avec son burn.
Arrive le breton Nono. Ses galettes insipides, jamais un sourire, qui m'attend sur la route en me faisant bien sentir combien je le fais chier...
Et le Ramone. ce malade qui fait 300 bornes de plus pour venir m'accompagner depuis la Touraine, alors que j'aime bien rouler seul. Y me transporte mon litron d'essence uniquement pour me le piquer si je tombe en panne. Failli se planter sur des gravillons. Sait même pas freiner, et y coupe le jambon comme un salaud.
Le Lolo. venu taper l'incruste le WE précédent pour soi disant me régler les cabus. Travail de merde J'ai failli ne pas pouvoir venir. (n'empêche qu'au retour, impeccable à tous les régimes, moins de conso, aucun arrêt technique). En plus y me laisse transporter ses propres outils, sous prétexte que je pourrais en avoir besoin. Rien trouvé de mieux que d'amener son neveu Romain qui nous a fait perdre notre temps à braver la maréchaussée. D'accord pour emmener de la famille, mais pas n'importe qui tout de même. En plus, c'est facile d'amener mes bagages en caisse...mais pour remonter sur Paris, plus personne. J'oubliais sa nouvelle copine. Une espèce de molasse qui reste tout le temps bouche béante e n'a pas prononcé un mot de tout le WE. Non contente de se faire arrêter par les condés, elle est restée sur le pas de la tente tout le WE, et a joué un peu avec les enfants et essayé un peu toutes les motos. Ah, il est bien tombé, le Lolo...
Parlons du Zode. Y m'a fait une pendule pour pour essayer de ne pas m'accompagner sur la route du retour, et tout ca pour finir dans une décharge publique pour récupérer des rondelles et des cannettes de boisson pour re-fixer son pot de Buell...l'hôpital qui se fout.... ET moi, pas une panne. Dès que Lolo n'est plus là, tout remarche !
Les Ptit pois et consorts. Y font 3 km et te gagnent une coupe....magouille je disais...
Le Grendel et sa ridicule moto rouge, qui fout le boxon la nuit. Cet enfoiré est resté derrière moi tout le chemin du retour, comme si je risquais de tomber en panne. ..Pour m'humilier...Aucun tact...Et pour la fin, il me laisse son araignée par flemme de latransporter...Un araignée, ça porte malheur.
Le seul que j'ai trouvé gentil, c'est Antitunning . Aimable, poli, discret, le gendre idéal. Il m' a laissé une photo de lui sur mon oreiller, avec un rencart dans un coin un peu écarté. Malheureusement, je n'ai pu m'y rendre (problème d'hémorroïdes). Il m' juste vidé le réservoir de la CX, mais j'étais si heureux de le voir ravi (pis y restait environ 8 cm3 de fuel....). Ensuite, il m'a enduit ma moto d'une couche caoutchoutée qui protègera efficacement de la corrosion. Non, vraiment, ce garçon est un amour.
Mais ce qui me gave le plus, c'est cet esprit étriqué des Café Racers, qui te foutent une bécane à la poubelle sous prétexte qu'elle ne correspond pas au standing du club.
Non, vraiment, je me suis senti mal dans cette bande de tristes et de vicelards. On ne m'y reprendra plus.